Origines perdues. livre 1 chapitre 1

Azurin ne disait mots, le regard toujours fixé contre cette femme, qui semblait satisfaite de l'avoir sous son joug. Les gardes la maintenait toujours fermement, de peur qu'elle s'en prenne directement à elle. La dame se retourna, les mains croisées face à elle, et dans un sourire qui se voulait plus rassurant que trompeur, l'invita à la suivre. En chemin, Azurin put admirer de l'œil le majestueux de l'architecture Hapienne, ou splendeur et la solidité ne font qu'un. Tout le long, il n'y avait que des femmes, mais quel femme...de véritable beauté, aucune n'avait rien à envier à ca suivante, et toutes se déplaçaient dans une allure lente et assuré. Seul les hommes semblaient se pétrir a leur coté, se tenant en retrait, bien qu'élégant et soigné, il semblait évidant que la demoiselle tenait les reines.

En face d'eux se tenait un petit salon de réception modeste, agrémenté de quelques table de jeux ainsi qu'un balcon amenant sur la cascade.

- Dame Merisee, votre thé est déja a disposition ainsi que des encas pour vous et votre invité. dit l'un des gardes à l'entrée de la piece.

Merisee..voila comment elle se nommait..qui ne répondit que par un vague ochement de tête. Une fois à l'intérieur les deux femmes, seul, prient place. Elle observa quelques instant Azurin, avant de démarer peut etre un semblant de discution.

-Vous vous demandez sans doute pourquoi j'ai tenue a ce que vous  restiez parmit nous quelques temps, hum ?
Azurin prit quelques secondes pour répondre.

-Vous pensez surement avoir le monopole de l'échange, moi ici, vous pouvez exiger ce qu'il vous désire.
- Allons...vous savez bien que même avec toutes ma sécurité a vos trousse, je ne suis pas sur de pouvoir vous recapturer. Oh ! j'allais oublier !

Elle prit sa tasse de thé et tapota quatres fois dessus, puis la porte souvrit, et une servante pénéttra avec un petit coffre qu'elle déposa sur une table de chevet a leur coté.
Merisee l'ouvrit, et Azurin put découvrir son sabre laser, parfaitement a sa porté.

-Mes gardes m'ont rapportés ceci, mais je suis bien imcapable de savoir si votre allegance vas à la republique ou à l'empire.. voire à Zakel. Vous n'etes pas prisoniere ici, vous pouvez le récupérer si vous le voulez. Dit elle les levres posées sur le bord de sa tasse, à savourer.


Soit cette femme n'a pas conscience du danger qu'elle pourrait encourir, soit elle bien trop courageuse pour son allure de petite bourgeoise.

- Je ne suis pas idiote...vous éliminer ne fait pas partie de ma mission, et puis, je ne tiens pas ce que Nous ayons d'autre soucis politique contre Hapes.


- C'est un sage raisonnement, en effet...Dite moi, connaissez vous cette femme..*lui tendant une holoprojection d'une femme de grande allure, jouant avec une jeune fille, les deux sembles très proche, de meme famille surement*

-Elle ne me dit rien, pourquoi ?..

- je vous le dirais en temps et en heure.